Situé à 71km de la ville de siguiri, le district de DORAH relevant de la sous-préfecture de Fidako a connu ces derniers temps de sérieux bouleversements dûs à l’assassinat de Bourlaye Koita, âgé de 55 ans, marié à trois (3) femmes et père de 10 enfants.
Selon nos informations, tout est parti d’une histoire de portion de terre en exploitation minière qui serait à la base des incompréhensions sociales entre DORAH et BADAMAKO.
Rencontré pour avoir des précisions, le président de district de DORAH Naromba Sidiki Koita explique :<< Quand on m’a informé de la situation, j’ai aussitôt cherché à contacter le procureur du TPI de siguiri Amiyata Kaba afin de faire la lumière sur la situation. Mais jusqu’à présent, la justice garde son silence coupable. Je veux dire qu’aucune réaction concrète n’est encore envisagée et les deux (2) villages risquent de s’affronter du jour au lendemain.>>
Il faut rappeler que depuis l’assassinat de Bourlaye Koita le 1er septembre dernier, plusieurs démarches ont été faites par les responsables des deux (2) villages en vue de rendre justice à qui de droit, mais jusqu’aujourd’hui, toutes ces tentatives restent vaines et ces habitants vivent avec des inquiétudes.
À faire à suivre.
Depuis Siguiri Mamadou Diallo correspondant de Guinéeconstat.com
Situé à 71km de la ville de siguiri, le district de DORAH relevant de la sous-préfecture de Fidako a connu ces derniers temps de sérieux bouleversements dûs à l’assassinat de Bourlaye Koita, âgé de 55 ans, marié à trois (3) femmes et père de 10 enfants.
Selon nos informations, tout est parti d’une histoire de portion de terre en exploitation minière qui serait à la base des incompréhensions sociales entre DORAH et BADAMAKO.
Rencontré pour avoir des précisions, le président de district de DORAH Naromba Sidiki Koita explique :<< Quand on m’a informé de la situation, j’ai aussitôt cherché à contacter le procureur du TPI de siguiri Amiyata Kaba afin de faire la lumière sur la situation. Mais jusqu’à présent, la justice garde son silence coupable. Je veux dire qu’aucune réaction concrète n’est encore envisagée et les deux (2) villages risquent de s’affronter du jour au lendemain.>>
Il faut rappeler que depuis l’assassinat de Bourlaye Koita le 1er septembre dernier, plusieurs démarches ont été faites par les responsables des deux (2) villages en vue de rendre justice à qui de droit, mais jusqu’aujourd’hui, toutes ces tentatives restent vaines et ces habitants vivent avec des inquiétudes.
À faire à suivre.
Depuis Siguiri Mamadou Diallo correspondant de Guinéeconstat.com