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Ville morte :le constat sur l’autoroute et l’axe le prince

mars 21, 2018
Ville morte :le constat sur l’autoroute et l’axe le prince
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Ville morte :le constat sur l’autoroute et l’axe le prince
Ville morte :le constat sur l’autoroute et l’axe le prince

Ce matin sur la route hamdallaye -bambetto les boutiques sont fermées les citoyens observent le mot d’ordre de l’opposition qui hier à enterrée quatre des ses militants la circulation reste paralysée hamidou bah rencontré au roind exprime sa solidarité et denonce linjustice du gouvernement chque fois ils rentrent dans nos concessions renversent les marmites trop cest trop poursuit le jeune
Du Côté de matoto par contre les populations n’ont pas répondu à l’appel à la ville morte de l’opposition républicaine.
C’est le constat qu’un de nos reporter a fait sur le terrain.

De Kissosso à Sangoyah, en passant par la Bonagui jusqu’à Matoto Condeboungny, la circulation routière est très dense. Le bouchon règne comme les jours ordinaires. Les citoyens vaquent tranquillement à leurs occupations quotidiennes.

Au grand marché de Matoto, boutiques et magasins sont ouverts. Assis devant son conteneur, Mamadou ne pense pas à la journée ville morte.  » Trop c’est trop. Chaque jour marche ou ville morte, nous en avons marre. On ne vit pas de la politique. Tous ces mouvements politiques impactent négativement nos petits commerces. Il faut que l’opposition trouve une nouvelle stratégie. Moi quand-même je ne suis plus avec leur méthode » a t-il fustigé avec un ton ferme.

Même avis pour cet autre commerçant croisé dans le quartier Sangoyah. Pour lui, après les mouvements qui ont endeuillé plusieurs familles ces derniers temps, l’opposition devrait faire une pose avec ses mouvements.
 » Nous venons d’enterrer des guinéens qui ont perdu la vie suite à des événements politiques. Aujourd’hui encore on nous parle de ville morte, nous nous sommes fatigués de ça maintenant. On a autre chose à faire  » a t-il soutenu.

Même constat au grand marché de madina où les commerçants sont massivement venus ouvrir leur commerce

À l’opposition d’en tirer conséquence.

Ce matin sur la route hamdallaye -bambetto les boutiques sont fermées les citoyens observent le mot d’ordre de l’opposition qui hier à enterrée quatre des ses militants la circulation reste paralysée hamidou bah rencontré au roind exprime sa solidarité et denonce linjustice du gouvernement chque fois ils rentrent dans nos concessions renversent les marmites trop cest trop poursuit le jeune
Du Côté de matoto par contre les populations n’ont pas répondu à l’appel à la ville morte de l’opposition républicaine.
C’est le constat qu’un de nos reporter a fait sur le terrain.

De Kissosso à Sangoyah, en passant par la Bonagui jusqu’à Matoto Condeboungny, la circulation routière est très dense. Le bouchon règne comme les jours ordinaires. Les citoyens vaquent tranquillement à leurs occupations quotidiennes.

Au grand marché de Matoto, boutiques et magasins sont ouverts. Assis devant son conteneur, Mamadou ne pense pas à la journée ville morte.  » Trop c’est trop. Chaque jour marche ou ville morte, nous en avons marre. On ne vit pas de la politique. Tous ces mouvements politiques impactent négativement nos petits commerces. Il faut que l’opposition trouve une nouvelle stratégie. Moi quand-même je ne suis plus avec leur méthode » a t-il fustigé aveVille morte :le constat sur l’autoroute et l’axe le prince

Ce matin sur la route hamdallaye -bambetto les boutiques sont fermées les citoyens observent le mot d’ordre de l’opposition qui hier à enterrée quatre des ses militants la circulation reste paralysée hamidou bah rencontré au roind exprime sa solidarité et denonce linjustice du gouvernement chque fois ils rentrent dans nos concessions renversent les marmites trop cest trop poursuit le jeune
Du Côté de matoto par contre les populations n’ont pas répondu à l’appel à la ville morte de l’opposition républicaine.
C’est le constat qu’un de nos reporter a fait sur le terrain.

De Kissosso à Sangoyah, en passant par la Bonagui jusqu’à Matoto Condeboungny, la circulation routière est très dense. Le bouchon règne comme les jours ordinaires. Les citoyens vaquent tranquillement à leurs occupations quotidiennes.

Au grand marché de Matoto, boutiques et magasins sont ouverts. Assis devant son conteneur, Mamadou ne pense pas à la journée ville morte.  » Trop c’est trop. Chaque jour marche ou ville morte, nous en avons marre. On ne vit pas de la politique. Tous ces mouvements politiques impactent négativement nos petits commerces. Il faut que l’opposition trouve une nouvelle stratégie. Moi quand-même je ne suis plus avec leur méthode » a t-il fustigé avec un ton ferme.

Même avis pour cet autre commerçant croisé dans le quartier Sangoyah. Pour lui, après les mouvements qui ont endeuillé plusieurs familles ces derniers temps, l’opposition devrait faire une pose avec ses mouvements.
 » Nous venons d’enterrer des guinéens qui ont perdu la vie suite à des événements politiques. Aujourd’hui encore on nous parle de ville morte, nous nous sommes fatigués de ça maintenant. On a autre chose à faire  » a t-il soutenu.

Même constat au grand marché de madina où les commerçants sont massivement venus ouvrir leur commerce

À l’opposition d’en tirer conséquence.
c un ton ferme.

Même avis pour cet autre commerçant croisé dans le quartier Sangoyah. Pour lui, après les mouvements qui ont endeuillé plusieurs familles ces derniers temps, l’opposition devrait faire une pose avec ses mouvements.
 » Nous venons d’enterrer des guinéens qui ont perdu la vie suite à des événements politiques. Aujourd’hui encore on nous parle de ville morte, nous nous sommes fatigués de ça maintenant. On a autre chose à faire  » a t-il soutenu.

Même constat au grand marché de madina où les commerçants sont massivement venus ouvrir leur commerce

À l’opposition d’en tirer conséquence.

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